Des livres, des livres ! Encore des livres ! Toujours des livres ! Rien que des livres !
Mais il faut raison garder…
Je vous laisse ce soir sur cette sentence. Reposez bien sur vos deux oreilles, comptez et recomptez vos maroquins rouges et vos Elzevier à grandes marges.
Les deux photos qui accompagnent ce minuscule article sont des évocations de ce que peut vouloir dire « des livres à l’infini... ». Photographies d’une collection privée (droits réservés… enfin presque).
(1) Jacques Du Lorens, né à Tillières-sur-Avre en 1580 et mort le 16 mai 1655, est un poète satirique français. Nous avons repris cette citation d’après le livre de M. Gustave Mouravit « Le livre et la petite bibliothèque de l’amateur » (Paris, Auguste Aubry, s.d. (1869), p. 147. Seule la fin « il suffit d’alléguer avoir beaucoup de livres. » est de Du Lorens, le début est un raccommodage de M. Mouravit (sur lequel nous reviendrons bientôt).
Amitiés,
Bertrand
Mais il faut raison garder…
« O vous, qui ambitionnez ce titre chatouilleux de bibliophile, ou qui, plus modeste, osez simplement vous dire ami des livres, ne soyez jamais de ceux qui ont l’outrecuidance ou l’ingénuité de croire que, pour mériter ces noms, il suffit d’alléguer avoir beaucoup de livres. »
Du Laurens ou Du Lorens, Satyre contre les demy-sçavans.
(Voy. Var. Bibliogr., par Ed. Tricotel. 1863, in-12, p. 292.) (1)
(Voy. Var. Bibliogr., par Ed. Tricotel. 1863, in-12, p. 292.) (1)
Je vous laisse ce soir sur cette sentence. Reposez bien sur vos deux oreilles, comptez et recomptez vos maroquins rouges et vos Elzevier à grandes marges.
Les deux photos qui accompagnent ce minuscule article sont des évocations de ce que peut vouloir dire « des livres à l’infini... ». Photographies d’une collection privée (droits réservés… enfin presque).
(1) Jacques Du Lorens, né à Tillières-sur-Avre en 1580 et mort le 16 mai 1655, est un poète satirique français. Nous avons repris cette citation d’après le livre de M. Gustave Mouravit « Le livre et la petite bibliothèque de l’amateur » (Paris, Auguste Aubry, s.d. (1869), p. 147. Seule la fin « il suffit d’alléguer avoir beaucoup de livres. » est de Du Lorens, le début est un raccommodage de M. Mouravit (sur lequel nous reviendrons bientôt).
Amitiés,
Bertrand