Petite brève bibliophilique :
Petit phrase découverte dans un article de l’Encyclopédie des gens du monde à l’article Delisle de Sales (1).
« Delisle de Sales n'était pas riche, et il réservait toutes ses ressources pour l'augmentation de sa bibliothèque. A sa mort il laissa 30,000 volumes. »
Un homme de la sorte ne pouvait pas être fondamentalement mauvais...
Je ne sais pas la date de la vente de sa riche bibliothèque ni même si elle eut lieu ? Pas plus que je n'ai une idée de ce qu'elle pouvait contenir de trésors ? Si un amateur en sait plus sur le personnage et son penchant à la déraison bibliophilique ? Cela intéressera tout le monde ici je pense.
(1) Jean-Baptiste Isoard, dit Delisle de Sales, écrivain français, né à Lyon en 1743, mort à Paris en 1816. Il quitta l'Oratoire pour vivre dans le monde, se lia avec les philosophes et publia un grand nombre d'écrits dont les plus connus sont : Philosophie de la nature, 1769 et 1804, ouvrage qui fut poursuivi et brûlé au Châtelet ; Philosophie du bonheur, 1796 ; Mémoire en faveur de Dieu, 1802 ; Histoire des Hommes (continuée par Louis-Sébastien Mercier), 1781 et années suivantes, 52 volumes. On l'a surnommé le Singe de Diderot. Il a cependant combattu le matérialisme et l'athéisme. Outre ses ouvrages originaux, il a donné une traduction de Suétone (Source Wikipedia, extrait du Dictionnaire historique de Bouillet).
Bonne journée,
Bertrand
Un homme de la sorte ne pouvait pas être fondamentalement mauvais...
Je ne sais pas la date de la vente de sa riche bibliothèque ni même si elle eut lieu ? Pas plus que je n'ai une idée de ce qu'elle pouvait contenir de trésors ? Si un amateur en sait plus sur le personnage et son penchant à la déraison bibliophilique ? Cela intéressera tout le monde ici je pense.
(1) Jean-Baptiste Isoard, dit Delisle de Sales, écrivain français, né à Lyon en 1743, mort à Paris en 1816. Il quitta l'Oratoire pour vivre dans le monde, se lia avec les philosophes et publia un grand nombre d'écrits dont les plus connus sont : Philosophie de la nature, 1769 et 1804, ouvrage qui fut poursuivi et brûlé au Châtelet ; Philosophie du bonheur, 1796 ; Mémoire en faveur de Dieu, 1802 ; Histoire des Hommes (continuée par Louis-Sébastien Mercier), 1781 et années suivantes, 52 volumes. On l'a surnommé le Singe de Diderot. Il a cependant combattu le matérialisme et l'athéisme. Outre ses ouvrages originaux, il a donné une traduction de Suétone (Source Wikipedia, extrait du Dictionnaire historique de Bouillet).
Bonne journée,
Bertrand