Paradoxalement, aucun livre n’avait été publié en français sur les caractères de civilité, cette « lettre française d’art de main » inventée par Robert Granjon en 1557 et employée jusqu’au XIXe siècle. Quelques articles parus dans des revues universitaires, et surtout un livre publié en anglais par Harry Carter et Hendrik Vervliet en 1966, avaient décrit les origines de cette typographie au XVIe siècle. Mais son utilisation sur le long terme n’avait fait l’objet d’aucune étude. C’est désormais chose faite.
Les éditions Atelier Perrousseaux, spécialisées dans le graphisme et la typo, lancent donc une campagne de souscription pour la publication d’un livre consacré à l’histoire de cette typographie.
Rémi Jimenes
Les caractères de civilité
Typographie et calligraphie sous l’Ancien Régime
Préface de Hendrik D. L. Vervliet
Sortie publique le 17 mars 2011.
120 pages
Illustré (quadrichromie)
21.00 × 29.00 cm
ISBN : 978-2-911220-40-1
Souscription : 23.00 € au lieu de 29.50 €
(offre valable jusqu’au 17-03-2011 ; compter 2 € de participation aux frais d’envoi).
Disponible directement auprès de l’éditeur :
www.perrousseaux.com
Extrait de la 4e de couverture :
« Lettre française d'art de main » ou « lettre façon d'écriture », les caractères de civilité gravés par Robert Granjon en 1557 constituent l'une des plus fameuses imitations de l'écriture manuscrite dans la typographie. Reproduisant la gothique cursive très souple des secrétaires français de la Renaissance, ils seront employés à la composition des livres (et notamment des manuels scolaires) pendant plus de trois siècles.
Pour la première fois, cet ouvrage présente l'histoire des caractères de civilité sur un long terme, en observant les modalités de leur utilisation depuis la Renaissance jusqu'au milieu du XIXe siècle.
Dans ce large cadre chronologique, l'auteur examine le rôle qu'ont joué les caractères de civilité dans l'enseignement élémentaire et les rapports étroits qu'ils ont entretenus avec les modes calligraphiques. La typographie n'est donc pas ici examinée sous ses seuls aspects formels : on s'attache à restituer les enjeux (sociaux, religieux, économiques) qui en conditionnent les usages.
S'appuyant sur des sources variées et souvent inédites (traités calligraphiques, typographiques ou pédagogiques, documents d'archives, préfaces, etc.), cette étude s'accompagne d'une abondante iconographie, présentant plus d'une centaine de documents tant imprimés que manuscrits.
À travers cette histoire de la « lettre française », c'est à une véritable exploration des relations entre typographie et calligraphie qu'est convié le lecteur.
Les éditions Atelier Perrousseaux, spécialisées dans le graphisme et la typo, lancent donc une campagne de souscription pour la publication d’un livre consacré à l’histoire de cette typographie.
Rémi Jimenes
Les caractères de civilité
Typographie et calligraphie sous l’Ancien Régime
Préface de Hendrik D. L. Vervliet
Sortie publique le 17 mars 2011.
120 pages
Illustré (quadrichromie)
21.00 × 29.00 cm
ISBN : 978-2-911220-40-1
Souscription : 23.00 € au lieu de 29.50 €
(offre valable jusqu’au 17-03-2011 ; compter 2 € de participation aux frais d’envoi).
Disponible directement auprès de l’éditeur :
www.perrousseaux.com
Extrait de la 4e de couverture :
« Lettre française d'art de main » ou « lettre façon d'écriture », les caractères de civilité gravés par Robert Granjon en 1557 constituent l'une des plus fameuses imitations de l'écriture manuscrite dans la typographie. Reproduisant la gothique cursive très souple des secrétaires français de la Renaissance, ils seront employés à la composition des livres (et notamment des manuels scolaires) pendant plus de trois siècles.
Pour la première fois, cet ouvrage présente l'histoire des caractères de civilité sur un long terme, en observant les modalités de leur utilisation depuis la Renaissance jusqu'au milieu du XIXe siècle.
Dans ce large cadre chronologique, l'auteur examine le rôle qu'ont joué les caractères de civilité dans l'enseignement élémentaire et les rapports étroits qu'ils ont entretenus avec les modes calligraphiques. La typographie n'est donc pas ici examinée sous ses seuls aspects formels : on s'attache à restituer les enjeux (sociaux, religieux, économiques) qui en conditionnent les usages.
S'appuyant sur des sources variées et souvent inédites (traités calligraphiques, typographiques ou pédagogiques, documents d'archives, préfaces, etc.), cette étude s'accompagne d'une abondante iconographie, présentant plus d'une centaine de documents tant imprimés que manuscrits.
À travers cette histoire de la « lettre française », c'est à une véritable exploration des relations entre typographie et calligraphie qu'est convié le lecteur.